Tiago et libre

Dix ans que je vivais a San Francisco, deux que j’essaie de me construire une nouvelle vie. J’avais fait la connaissance d’une femme géniale, le plus étrange, c’était que c’était la sœur de mon meilleur ami, elle avait besoin d’un toit ou dormir, et c’est tout naturellement que je lui avais proposé de venir chez moi, je sais très bien que Rafaël risque de m’en vouloir, mais elle avait besoin d’aide et ne voulais pas demander à son frère. Le plus compliqué, c’est lui caché que sa sœur vit désormais chez moi.

J’avais confié à Ava que j’avais envie de retrouver ma famille biologique, je n’osais pas en parler à mes sœurs de peur qu’elles le prennent mal. Ce sont mes sœurs, ça ne change rien, mais j’ai besoin de savoir d’où je viens. Je sais juste que mon père vit à Phoenix, qu’il a eu deux enfants. Mais le reste, reste un mystère.

J’avais engagé un détective privé pour retrouver mon frère et ma sœur biologique. Mais est ce que je pouvais vraiment les appeler comme ça ? Ok, on a le même père, mais on pas vécu ensemble. Est-ce que ce sont des gens bien ? J’ai pu avoir des petites infos sur eux.  

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Tiago et libre

Ton réveil venait de sonner, pourtant aujourd'hui tu ne travaillais pas à l'université, c'était comme un jour de repos pour toi !Pourtant tu n'avais pas d'autre choix que de bosser, que d'avancer dans tes études pour réussir , tu ne pouvais pas bosser chez toi, car tu étais assez vite distraite, par le téléphone ou même parfois par la télé.  Attrapant ton sac, tu mis ton ordinateur dedans, ainsi que des feuilles de cours. Attrapant ton manteau tu montas dans ta voiture. Tu pris d'abord le temps de t'envoyer un message à ton père pour manger avec lui ce soir, tu étais même prête à le rejoindre a l'hôpital.


Tu rentras dans le café, tu aimais cette odeur magnifique de cette substance que tu aimais tant. Tu te mis derrière un jeu homme qui avait l'air totalement perdu dans ses pensées. C'était à lui, tu lui tapa doucement sur l'épaule "Je crois que c'est à vous de commander" Dis-tu avec un petit sourire, comme toujours ! Tu n'étais jamais pressée, la vie était assez courte pour demande aux autre d'aller vite.

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