» A San Francisco depuis : : 19/09/2023 ☽ Nombres d'étoiles : : 64 ☽ Avatar : : Sarah Michelle Gellar ☽ Statue civil : Mariée ☽ Orientation : Homosexuelle Date de naissance : 14/02/1982 Age : 42☽ Job & co : : Lieutenant de Police
Sujet: Une intervention en toute sécurité - ft. Arès Jeu 21 Sep 2023 - 20:57
Si en générale nous faisons notre travail de notre côté, sans interférer dans celles des pompiers, il y a des moment où notre présence est requise. Comme lors des interventions à risques ou dans des quartiers sensibles. Ce qui est le cas aujourd'hui. Je n'ai pas vraiment beaucoup d'informations sur cette intervention, mais je sais que les pompiers ont demandé à ce que la police les accompagne sur cette intervention dans le quartier de Bayview. Plusieurs policiers ont donc été envoyés sur les lieux, de grade différent, moi y compris. Sur le chemin qui mène au lieu de rencontre, j'essaie de deviner l'objet de cette intervention. En réalité, cela peut être tout et n'importe quoi. Un accident de la route, un risque de fuite, une intervention à domicile chez une personne fragile, qui pourrait avoir envie d'agresser les pompiers... Difficile à dire en réalité. Durant le trajet, c'est plutôt calme. Personne ne parle jusqu'à ce que nous arrivions à destination. Je suis l'une des premières à me rendre à la rencontre des pompiers, qui nous attendent déjà. Je m'avance alors vers l'un d'eux, pour lui demander plus de détails sur cette intervention, mais aussi la raison de notre présence. Parce que jusqu'à présent, on ne peut pas dire que l'on nous a donné beaucoup d'informations à ce sujet. L'homme est plutôt grand et blond, vêtu de son uniforme de pompier, tout comme ses collègues qui se trouvent à proximité également. Je passe les présentations, parce qu'à force de travailler avec les pompiers, je sais à qui j'ai à faire. Je commence à tous les connaître, au moins de nom et eux aussi commencent à savoir qui je suis et quel poste j'occupe.
« Bonjour, je vois que vous nous attendiez déjà ! Alors dis moi en plus sur cette intervention ? Nous n'avons pas eu beaucoup d'informations jusqu'à présent, hormis que vous aviez besoin de notre assistance. »
» A San Francisco depuis : : 07/09/2023 ☽ Nombres d'étoiles : : 31 ☽ Avatar : : Oliver Stark ☽ Statue civil : Célibataire. ☽ Orientation : Semeur de troubles. Date de naissance : 25/12/1990 Age : 33☽ Job & co : : Pompier
Sujet: Re: Une intervention en toute sécurité - ft. Arès Ven 22 Sep 2023 - 17:29
Deux grosses interventions aujourd’hui, un immense incendie, et un bâtiment qui s’est effondré. Beaucoup de morts, de blessés, beaucoup d’émotions. Il y a longtemps que je n’avais pas vécu une journée aussi intensément. Je prends quelque chose à grignoter et je vais me laisser tomber sur un des lits. Je pourrais bientôt rentrer, d’ici 30 minutes, la garde sera fini. Alors je croise les doigts que l’alarme ne retentisse pas une dernière fois. J’aime mon métier, mais parfois c’est lourd psychologiquement. Mais la larme retentit après dix minutes de repos, alors je me prépare très rapidement, pour qu’on reparte. Si on nous avait dit à la radio le pourquoi de cette intervention, je jugerai que nous ne serions pas sortis de la caserne. On est partis d’ici sans trop savoir où l’on allait mettre les pieds. Quand on arrive sur place, l’une des victimes nous accueille et nous explique ce qui s’est passé. On ne peut s’empêcher de rire, parce qu’on y croit pas. On s’occupe des blessés, à l’extérieur. Lorsque la police arrive enfin, je me dirige vers eux, pour faire un rapport. « Bonjour Lieutenant Sheperd. Le suspect est armé, toutes les victimes ont pu être évacuées. Il semble désorienté et un peu agressif. Je peux vous accompagner. » Je vois mes collègues rire derrière et je secoue la tête avec amusement. Je fais signe aux policiers de me suivre. J’attrape une batte au passage, et je pénètre dans le bâtiment. « Ça faisait longtemps Alexandra, qu’on a pas bossé ensemble. » Je marche dans le bâtiment assez doucement et je regarde autour de nous. On approche de la salle où on a enfermé le suspect de l’attaque. « Promis, j’te paie un verre après ça. » Je lâche un éclat de rire en laissant passer les flics devant moi, en désignant la porte du fond. Je les laisse y aller, mais je vais rester là malgré tout pour regarder. Je sais qu’elle va me tuer pour ça, mais ça vaudra vraiment le coup. Et en cet instant j’essaie juste de retenir mon fou rire qui ne demande qu’à sortir.
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Sujet: Re: Une intervention en toute sécurité - ft. Arès Ven 22 Sep 2023 - 21:51
Il est bien vrai qu'en termes de ponctualité, nous ne sommes pas toujours les premiers arrivés à l'heure. En même temps, avec toutes les enquêtes qu'on a chaque jour sous les bras, il est parfois difficile d'avoir du monde à la fois au poste et d'autres sur les lieux d'interventions. Alors oui, parfois on n'est pas toujours à l'heure! Hors de question cependant de négliger l'aide demandée par la caserne des pompiers. S'ils ont solliciter notre aide, c'est que ça doit être pour une bonne raison ! Enfin.. c'est du moins ce que je pense et sans informations supplémentaires, je ne peux faire que des suppositions sur la nature de notre intervention, et de la leur, aussi. Quand j'y pense, cela fait un moment que nous n'avions pas travaillé ensemble, pompier et policier. Arrivée sur place, le pompier, Arès, m'explique rapidement la situation. Bon, au moins les blessés sont hors de danger, ce qui est une bonne chose.
« Allez-y, on vous suit. »
Alors que nous discutons, je peux entendre ses collègues de taper une barre. Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle là dedans ! Je lui emboite le pas, suivi de mes collègues également présent.
« En effet, ça fait un moment. »
Après avoir marché un petit peu, nous sommes arrivés devant une salle. Je suppose que c'est à l'intérieur que se trouve le suspect. Je suis prête à accepter son invitation à boire un verre lorsque je m'apprête à ouvrir la porte. Je me retourne, l'entendant rigoler. Qu'est-ce qu'il a de si drôle à la fin ?
« Je peux savoir ce qu'il y a de si drôle ? »
La réponse à ma question se trouve derrière la porte, évidemment. Lorsque je l'ouvre, je suis .. surprise par ce que j'y trouve. C'est une blague j'espère ? Ils ont enfermé un coq dans la pièce ! Je me retourne, pour faire fasse à Arès, une fois de plus. Je crois que je comprends un peu mieux pourquoi ses collègues et lui-même sont morts de rire.
« Ne me dit pas que c'est ça, votre suspect ? Un coq, vraiment ? »
Que suis-je censé faire de ça ? Je ne vais tout même pas mettre des menottes à un coq et l'emmener au poste pour l'interroger. Je ne suis pas certaine qu'il soit très coopératif, ni qu'il réponde à nos questions ! Le temps que j'ai le dos tourné, le coq, qui est un suspect rappelons-le tout de même, en profite pour m'attaquer.
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Si en générale nous faisons notre travail de notre côté, sans interférer dans celles des pompiers, il y a des moment où notre présence est requise. Comme lors des interventions à risques ou dans des quartiers sensibles. Ce qui est le cas aujourd'hui. Je n'ai pas vraiment beaucoup d'informations sur cette intervention, mais je sais que les pompiers ont demandé à ce que la police les accompagne sur cette intervention dans le quartier de Bayview. Plusieurs policiers ont donc été envoyés sur les lieux, de grade différent, moi y compris. Sur le chemin qui mène au lieu de rencontre, j'essaie de deviner l'objet de cette intervention. En réalité, cela peut être tout et n'importe quoi. Un accident de la route, un risque de fuite, une intervention à domicile chez une personne fragile, qui pourrait avoir envie d'agresser les pompiers... Difficile à dire en réalité. Durant le trajet, c'est plutôt calme. Personne ne parle jusqu'à ce que nous arrivions à destination. Je suis l'une des premières à me rendre à la rencontre des pompiers, qui nous attendent déjà. Je m'avance alors vers l'un d'eux, pour lui demander plus de détails sur cette intervention, mais aussi la raison de notre présence. Parce que jusqu'à présent, on ne peut pas dire que l'on nous a donné beaucoup d'informations à ce sujet. L'homme est plutôt grand et blond, vêtu de son uniforme de pompier, tout comme ses collègues qui se trouvent à proximité également. Je passe les présentations, parce qu'à force de travailler avec les pompiers, je sais à qui j'ai à faire. Je commence à tous les connaître, au moins de nom et eux aussi commencent à savoir qui je suis et quel poste j'occupe.
Deux grosses interventions aujourd’hui, un immense incendie, et un bâtiment qui s’est effondré. Beaucoup de morts, de blessés, beaucoup d’émotions. Il y a longtemps que je n’avais pas vécu une journée aussi intensément. Je prends quelque chose à grignoter et je vais me laisser tomber sur un des lits. Je pourrais bientôt rentrer, d’ici 30 minutes, la garde sera fini. Alors je croise les doigts que l’alarme ne retentisse pas une dernière fois. J’aime mon métier, mais parfois c’est lourd psychologiquement. Mais la larme retentit après dix minutes de repos, alors je me prépare très rapidement, pour qu’on reparte. Si on nous avait dit à la radio le pourquoi de cette intervention, je jugerai que nous ne serions pas sortis de la caserne. On est partis d’ici sans trop savoir où l’on allait mettre les pieds. Quand on arrive sur place, l’une des victimes nous accueille et nous explique ce qui s’est passé. On ne peut s’empêcher de rire, parce qu’on y croit pas. On s’occupe des blessés, à l’extérieur. Lorsque la police arrive enfin, je me dirige vers eux, pour faire un rapport. « Bonjour Lieutenant Sheperd. Le suspect est armé, toutes les victimes ont pu être évacuées. Il semble désorienté et un peu agressif. Je peux vous accompagner. » Je vois mes collègues rire derrière et je secoue la tête avec amusement. Je fais signe aux policiers de me suivre. J’attrape une batte au passage, et je pénètre dans le bâtiment. « Ça faisait longtemps Alexandra, qu’on a pas bossé ensemble. » Je marche dans le bâtiment assez doucement et je regarde autour de nous. On approche de la salle où on a enfermé le suspect de l’attaque. « Promis, j’te paie un verre après ça. » Je lâche un éclat de rire en laissant passer les flics devant moi, en désignant la porte du fond. Je les laisse y aller, mais je vais rester là malgré tout pour regarder. Je sais qu’elle va me tuer pour ça, mais ça vaudra vraiment le coup. Et en cet instant j’essaie juste de retenir mon fou rire qui ne demande qu’à sortir.